Je ne sais franchement pas trop quoi dire à propos de cette vidéo. C’est con. C’est mignon. Ca ne sert globalement à rien, mais je ne regrette absolument pas de lui avoir accordé 2mn45. Rien que pour le gros lapin rose.
Du bon nawak bien animé et coloré à souhait. Merci à 8bit Creative Studio pour ce délire.
Court métrage sympathique d’un minute réalisé par Lemor Charles pour son école (Supinfocom), « Laissez, laissez entrer le soleil » vaut le coup d’oeil. Du coup, comme je suis un mec sympa, je partage.
Tu peux regarder la vidéo maintenant.
Histoire de vous rappeler que Noël ça ne se passe pas forcément qu’en famille ou en équipe pour tout le monde, je vous invite à regarder cette vidéo réalisée David Lea. En gros, c’est l’histoire d’un type seul, totalement malade, qui est loin de passer la meilleure soirée de sa vie. Sauf que…
Réalisé par Charles Bouet, de Supinfocom, Jacky Rondelle nous raconte l’histoire d’un flic un peu trop bourré qui tente de récupérer son vélo après l’avoir fait tomber dans les rues de Montmartre. Et oui, ça descend bien. S’en suit donc une mini course poursuite drôle et bien montée, accompagnée surtout d’une esthétique forte qui fait mouche et d’une musique au poil.
Plus besoin de le préciser, le Japon et le nucléaire sont malheureusement bien trop liés. Entre les catastrophes passées et les désastres plus récents, l’archipel nippon n’a que trop été heurté. Normal donc que le sujet ait été traité de si nombreuses fois dans diverses oeuvres. Il faut effectivement exorciser le traumatisme, exprimer ses peurs et ne jamais oublier pour mieux préparer le futur. Mais est-ce suffisant ?
C’est dans ce contexte que le travail de Yukihiro Shoda m’a totalement bluffé. Court métrage incroyable, extrêmement bien réalisé, pessimiste, choquant, touchant et alarmant, Blind prend place dans un Tokyo post-nucléaire et nous raconte l’histoire d’un salary-man comme on en voit beaucoup là-bas. Je ne vous en dis pas plus. Mais ne passez surtout pas à côté.
Bravo.
Réalisation : Chris McClean et Mark Waters
Montage : Mark Waters
Musique : UNKLE- Cut Me Loose (Redux)
Ingé’ Son : William Evans
Poème : Daniel Crockett
Voix-Off : Jeff Hordley
Surfers : Gabe Davies, Pete Eyre, John John Florence, Nathan Florence, Dylan Graves, Chris ‘Guts’ Griffiths, Ritchie Sills et Balaram Stack
Ecrit et réalisé par Patrick Scott, Thanks, Smokey! part d’une idée de base très simple pour en faire un bon délire WTF. De plus, il vous sera bien difficile de résister aux nanas si bien foutues qui remuent leur arrière train de compétition en rythme et en petite culotte. Quant à la musique (Stefan Nordin) qui accompagne ce grand n’importe, elle ne pouvait pas être plus juste. Tout simplement énorme.
C’est fou ce qu’on peut faire avec un train, une bonne bande son, et une putain d’imagination, même si le court métrage ici réalisé par Lior Ben Horin s’inspire (ou pompe méchamment) bien comme il faut d’Enter The Void et de 2001 : L’Odyssée de L’Espace. Des couleurs et des plans qui tuent.
Rien à dire, j’aime les couleurs et les néons. Et j’aime beaucoup Head On aussi, du coup.
Pitch : An Abstract Day relate une journée dans la vie d’un couple via un mélange de bruits, de formes et de couleurs.
Avis : Expérimental, donc forcément pas abordable au premier coup d’oeil. Mais à voir pour sa réalisation peu commune, et on se rend compte qu’il est tout à fait possible de suivre une histoire grâce à l’alliance de formes abstraites et de sons reconnaissables.
Réalisation : Oerd van Cuijlenborg
Des idées, des projets, tout le monde en a. Parce contre, tous n’arrive pas forcément à les concrétiser, et le chemin pour y arriver est souvent très difficile. C’est cette réalité que Stephen Reedy a voulu mettre en scène avec The Life Cycle of a Good Idea. Le ton y est vraiment étonnant, et la matérialisation des problèmes rencontrés est vite compréhensible pour toutes les personnes y ayant été confrontés.